Passer au contenu
Un port d’attache pour les pédiatres. Une voix pour les enfants.
CPS

Les recommandations relatives aux vaccins antigrippaux administrés aux enfants et aux adolescents pour la saison 2024-2025

Affichage : le 20 septembre 2024


La Société canadienne de pédiatrie vous autorise à imprimer une copie unique de ce document tiré de notre site Web. Pour obtenir l'autorisation d'en réimprimer ou d'en reproduire des copies multiples, lisez notre politique sur les droits d'auteur, à l'adresse www.cps.ca/fr/policies-politiques/droits-auteur.

Auteur(s) principal(aux)

Dorothy L. Moore; Société canadienne de pédiatrie, Comité des maladies infectieuses et d’immunisation

Résumé

La Société canadienne de pédiatrie continue d’encourager la vaccination antigrippale annuelle de TOUS les enfants et les adolescents, dès l’âge de six mois. Les recommandations du Comité consultatif national de l’immunisation pour la saison 2024-2025 ne sont pas très différentes de celles de la saison précédente, sauf que le vaccin quadrivalent n’est plus privilégié chez les enfants âgés de six mois à 17 ans. Tant le vaccin trivalent que le vaccin quadrivalent peuvent être utilisés[1]. Le vaccin antigrippal inactivé ou le vaccin vivant atténué peuvent être utilisés chez les enfants et les adolescents de deux à 17 ans qui ne sont pas immunodéprimés[2].

Mots-clés CCNI; enfants; vaccin antigrippal; vaccin contre l’influenza inactivé; VVAI

Les pédiatres et les autres dispensateurs de soins qui s’occupent d’enfants et d’adolescents ont des rôles importants à jouer pour promouvoir le vaccin antigrippal. Pour accroître l’adoption de ce vaccin, ils peuvent aider les familles à comprendre la gravité potentielle de l’infection tout autant que l’efficacité et l’innocuité de la vaccination. Le vaccin contre l’influenza est particulièrement important pour limiter les répercussions d’éclosions simultanées de grippe et de COVID-19 sur le système de santé et sur les particuliers.

Le présent point de pratique résume les récentes recommandations du Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI)[2].

Qui devrait être vacciné?

Le CCNI recommande la vaccination antigrippale de toutes les personnes de six mois et plus, notamment celles qui présentent un risque élevé de complications et d’hospitalisation liées à la grippe et celles qui sont susceptibles de transmettre la grippe à des personnes présentant un risque élevé (encadré 1)[2]. La Société canadienne de pédiatrie encourage la vaccination antigrippale annuelle de TOUS les enfants et les adolescents, dès l’âge de six mois, de même que des personnes – y compris les pédiatres et les autres dispensateurs de soins – susceptibles de transmettre la grippe à celles présentant un risque élevé de complications[2]. Les enfants de moins de cinq ans sont considérés à haut risque, sans compter qu’ils sont des vecteurs efficaces de transmission[3].

ENCADRÉ 1. Recommandations du Comité consultatif national de l’immunisation

La vaccination antigrippale est particulièrement recommandée dans les groupes suivants :

Personnes représentant un risque élevé de complications ou d’hospitalisation liées à la grippe

  • Tous les enfants âgés de six à 59 mois
  • Tous les enfants de six mois et plus, les adolescents et les adultes atteints d’une affection chronique (assez grave pour exiger un suivi médical régulier ou des soins hospitaliers), en particulier les affections suivantes :
    • maladies cardiaques ou pulmonaires, notamment la dysplasie bronchopulmonaire, la fibrose kystique et l’asthme;
    • diabète ou autres maladies métaboliques;
    • cancer ou autres troubles responsables d’une immunodépression (maladie ou traitement);
    • néphropathie;
    • anémie ou hémoglobinopathie;
    • affection neurologique ou neurodéveloppementale*;
    • obésité morbide (indice de masse corporelle ≥40 kg/m2);
    • traitement prolongé à l’acide acétylsalicylique chez des enfants et des adolescents de six mois à 18 ans, en raison du risque accru de syndrome de Reye associé à la grippe.
  • Tous les Autochtones
  • Tous les résidents d’établissements de soins de longue durée
  • Toutes les personnes enceintes, y compris les adolescentes, quel que soit le trimestre de leur grossesse (pour leur propre protection et celle de leur nouveau-né après l’accouchement)
  • Tous les adultes de 65 ans et plus

Personnes qui pourraient transmettre la grippe à des sujets à risque élevé, en particulier les suivantes

  • Contacts familiaux (adultes et enfants) de personnes à risque élevé (énumérées ci-dessus), que celles-ci aient été vaccinées ou non
  • Contacts familiaux de nourrissons âgés de moins de six mois (à risque élevé, mais trop jeunes pour recevoir ce vaccin)
  • Membres d’un ménage qui prévoient la naissance, l’adoption ou l’accueil d’un nouveau-né durant la saison grippale
  • Personnes qui s’occupent régulièrement d’enfants âgés de 59 mois ou moins, que ce soit à leur domicile ou ailleurs
  • Travailleurs de la santé et autres dispensateurs de soins en établissement et en milieu communautaire qui, par leurs activités, pourraient transmettre la grippe à des sujets à risque élevé
  • Personnes qui fournissent des services à des sujets à risque élevé dans un milieu fermé ou relativement fermé (p. ex., camps, bateaux de croisière)

Autres

  • Personnes qui fournissent des services communautaires essentiels
  • Personnes en contact direct avec de la volaille infectée par le virus de la grippe aviaire durant les activités d’abattage

* Ces troubles comprennent les affections neuromusculaires, neurovasculaires, neurodégénératives, neurodéveloppementales, les troubles convulsifs et, chez les enfants, les convulsions fébriles et les retards de développement isolés, mais excluent les migraines et les troubles neuropsychiatriques sans anomalies neurologiques.

Pourquoi doit-on administrer le vaccin tous les ans?

La réponse immunitaire à l’influenza ne persiste pas toujours plus d’un an, et les souches en circulation changent souvent. Les souches des vaccins ont généralement besoin d’être mises à jour chaque année. Pour la saison 2024-2025, le composant A H3N2 a été remplacé, tandis que les éléments H1N1 et B demeurent les mêmes que lors de la saison 2023-2024[4].

Quel vaccin devrait-on utiliser?

Pendant plusieurs décennies, les vaccins antigrippaux étaient composés de deux sous-types de l’influenza A et d’une lignée de l’influenza B. Lorsque la circulation annuelle des deux lignées de l’influenza B sont devenues fréquentes, les vaccins trivalents ont été remplacés par des vaccins quadrivalents qui contiennent deux deux lignées de l’influenza B (Victoria et Yamagata). Le CCNI a alors recommandé l’utilisation préférentielle des vaccins quadrivalents auprès des enfants et des adolescents à cause du fardeau de l’influenza B auprès de cette population par rapport à celui observé chez les adultes.

Depuis mars 2020, la lignée B/Yamagata a disparu dans le monde, et seule la lignée B/Victoria est en circulation. En septembre 2023, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a recommandé de retirer la lignée B/Yamagata du vaccin antigrippal annuel et de transitionner du vaccin quadrivalent au vaccin trivalent. La lignée B/Yamagata n’est plus nécessaire, et il existe un risque théorique de réintroduire accidentellement cette lignée chez les humains pendant le processus de fabrication, qui se fait à partir d’un virus vivant, ou par l’utilisation du vaccin vivant atténué contre l’influenza (VVAI), qui renferme la souche Yamagata[1].

Deux types de vaccin antigrippal sont homologués au Canada : les vaccins inactivés contre l’influenza (VII), administrés par injection intramusculaire, et le VVAI, administré par voie intranasale (voir le tableau 1).

Il est prévu qu’au cours de la prochaine saison, la seule dose standard de VII sera offerte sous forme quadrivalente (VII4-SD), car les fabricants ont besoin de temps pour se réadapter à la production d’un vaccin trivalent. Cependant, ce vaccin trivalent pourra être utilisé auprès des enfants s’il devient disponible. En effet, tant le vaccin trivalent que le vaccin quadrivalent demeurent efficaces et sécuritaires[1][2]. Un VII3 contenant un adjuvant (VII3-Adj; Fluad, Seqirus) est offert aux enfants de six à 23 mois et aux adultes de 65 ans et plus. La plupart des VII homologués au Canada sont produits dans des œufs. Un vaccin produit dans des cultures cellulaires de mammifères (VII4-cc; Flucelvax, Seqirus), est homologué au Canada pour les personnes de six mois ou plus[2]. Un vaccin produit au moyen de la technologie recombinante (VIR4; Supemtek, Sanofi Pasteur) a été autorisé pour les adultes de 18 ans et plus en janvier 2021, mais n’est pas encore offert aux enfants[2].

Seule la forme quadrivalente du VVAI est mise en marché pour l’instant. Le VVAI est autorisé chez les personnes de deux à 59 ans. La congestion nasale et la rhinorrhée transitoires en sont les principaux effets secondaires. Ce vaccin n’est pas homologué pour les enfants de moins de deux ans en raison de l’accroissement faible, mais significatif, du taux de respiration sifflante observé de deux à quatre semaines après la vaccination dans cette tranche d’âge. Il peut être utilisé chez les enfants et les adolescents non immunodéprimés de deux à 17 ans. Le CCNI déclare que, même si le VII est préférable, le VVAI peut être envisagé chez certains enfants atteints d’une infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) bien contrôlé (défini au tableau 1) qui n’acceptent pas le VII. Des études récentes ont démontré une protection par le VVAI et le VAI chez les enfants. Lorsque le VVAI n’est pas contre-indiqué, l’un ou l’autre de ces vaccins peut être utilisé[2]. Chez les adultes, certaines données indiquent que le VII serait plus efficace que le VVAI. Ces deux vaccins peuvent être utilisés chez les adultes en santé, mais on devrait privilégier le VII chez ceux qui sont atteints d’une maladie chronique[2]. Les vaccins offerts et les préférences du CCNI auprès des enfants et des adolescents figurent au tableau 1[1][2].

TABLEAU 1. Choix du vaccin antigrippal pour certaines tranches d’âge et certains groupes à risque*

Tranche d’âge, profil de santé

Types de vaccins disponibles

Commentaires

6 à 23 mois

VII4-SD

VII4-cc

VII3-Adj

Le VII3-SD peut également être utilisé s’il est disponible.

2 à 17 ans, en bonne santé ou atteint d’une affection chronique sans immunodépression

VII4-SD

VII4-cc

VVAI4

Le VII3-SD peut également être utilisé s’il est disponible.

Le VVAI3 peut également être utilisé s’il est disponible.

(Voir les contre-indications à l’utilisation du VVAI.)

2 à 17 ans, immunodépression

VII4-SD

VII4-cc

Le VII3-SD peut également être utilisé s’il est disponible.

Le VVAI est contre-indiqué.

Grossesse

VII4-SD

VII4-cc

Le VII3-SD peut également être utilisé s’il est disponible

Le VVAI n’est pas recommandé (n’a pas été étudié; le vaccin vivant pose un risque théorique pour le fœtus).

VII : vaccin inactivé contre l’influenza; VII3-Adj : vaccin trivalent inactivé contre l’influenza avec adjuvant; VII4 : vaccin quadrivalent inactivé contre l’influenza; VII3-SD : vaccin trivalent inactivé contre l’influenza à dose standard; VII4-SD : vaccin quadrivalent inactivé contre l’influenza à dose standard; VII4‑cc : vaccin quadrivalent inactivé contre l’influenza à base de culture cellulaire; VVAI : vaccin vivant atténué contre l’influenza; VVAI3 : vaccin trivalent vivant atténué contre l’influenza; VVAI4 : vaccin quadrivalent vivant atténué contre l’influenza

* Pour connaître les choix de vaccins pour les adultes, voir les références 1 et 2.

 L’administration du VVAI peut être envisagée chez les enfants atteints d’une infection stable par le VIH qui reçoivent un traitement antirétroviral hautement actif depuis au moins quatre mois, dont la numération des lymphocytes T CD4 est égale ou supérieure à 500/μL s’ils sont âgés de deux à cinq ans ou à 200/μL s’ils sont âgés de six à 17 ans et dont le taux d’ARN VIH plasmatique est inférieur à 10 000 copies/mL (numération des lymphocytes T CD4 et taux d’ARN VIH plasmatique mesurés dans les 100 jours précédant l’administration du VVAI)[2].

Quand doit-on administrer le vaccin?

Pour en tirer le meilleur parti, il faut administrer le vaccin antigrippal dès sa mise en marché, avant le début de la saison grippale. On doit quand même l’offrir jusqu’à la fin de la saison en cours aux personnes qui ne l’ont pas encore reçu[2].

Y a-t-il des contre-indications à l’utilisation du vaccin antigrippal?

Une réaction anaphylactique à une dose précédente du vaccin antigrippal ou à l’un de ses composants (à l’exception des œufs) ou l’apparition du syndrome de Guillain-Barré dans les six semaines suivant l’administration du vaccin, si l’on n’en a pas déterminé d’autre cause, constituent des contre-indications à de nouvelles doses[2].

Des études ont démontré que le VII et le VVAI peuvent être administrés en toute sécurité aux personnes allergiques aux œufs, car cette allergie n’est pas une contre-indication à leur administration[2]. Le vaccin antigrippal doit être administré dans un milieu où l’anaphylaxie peut être traitée[2].

Parce qu’il s’agit d’un vaccin vivant, le VVAI est contre-indiqué chez les personnes immunodéprimées, sauf les enfants atteints d’une infection stable par le VIH, chez qui il peut être envisagé. Il est également contre-indiqué chez les personnes ayant un asthme sévère (c’est-à-dire les sujets qui présentent une respiration sifflante active, qui reçoivent une glucocorticothérapie par voie orale ou de fortes doses de glucocorticoïdes inhalés ou dont la respiration sifflante a nécessité une intervention médicale au cours des sept jours précédents), chez les femmes enceintes et chez les enfants et les adolescents de deux à 17 ans qui suivent un traitement continu contenant de l’acide acétylsalicylique, en raison de l’association entre le syndrome de Reye et la prise d’acide acétylsalicylique pendant une infection grippale[2].

Chez les personnes ayant une congestion nasale suffisante pour nuire à l’administration satisfaisante du VVAI, il faut reporter la vaccination jusqu’à la disparition de la congestion ou privilégier le VII[2].

Des patients qui ont reçu le VVAI peuvent propager le virus du vaccin, mais comme celui-ci est adapté au froid, il n’est pas très pathogène. À titre de précaution, il est toutefois recommandé d’éviter les contacts avec les personnes gravement immunodéprimées (telles que les récents receveurs d’une greffe de cellules souches hématopoïétiques qui doivent encore demeurer en isolement) dans les deux semaines suivant l’administration du vaccin. Le VII est à privilégier chez les professionnels de la santé, les membres de la famille et les autres personnes qui seront en contact étroit avec elles[2].

Le vaccin antigrippal peut-il être administré en même temps que d’autres vaccins ou d’autres produits antiviraux?

Tous les vaccins antigrippaux saisonniers peuvent être administrés en tout temps avant, après ou conjointement avec d’autres vaccins ou avec le nirsévimab[5] ou le palivizumab[6], des anticorps monoclonaux contre le virus respiratoire syncytial.

Il faut avoir mis un terme à un traitement antiviral actif contre la grippe 48 heures avant d’administrer le VVAI, car ce traitement inactive le virus du vaccin. Si le patient doit recevoir un agent antigrippal dans les deux semaines suivant l’administration du VVAI, une nouvelle dose du vaccin est à prévoir au moins 48 heures après l’arrêt du traitement, à moins de privilégier le VII[2].

Quelle en est la posologie?

La posologie du VII administré par voie intramusculaire est de 0,5 mL quel que soit l’âge, sauf pour le VII3-Adj pédiatrique, qui est de 0,25 mL. Celle du VVAI4 est de 0,2 mL (0,1 mL dans chaque narine, à l’aide d’un vaporisateur intranasal)[2].

Un enfant de moins de neuf ans qui se fait administrer le vaccin antigrippal (VII ou VVAI) pour la première fois doit en recevoir deux doses à au moins quatre semaines d’intervalle. S’il en a déjà reçu au moins une dose par le passé, il a besoin d’une seule dose pour la saison. Les enfants de neuf ans et plus et les adultes n’ont besoin que d’une dose par année[2].

COMITÉ D’ÉTUDE DU FŒTUS ET DU NOUVEAU-NÉ DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DE PÉDIATRIE (2024-2025)

Membres Michelle Barton MD (présidente); Laura Sauvé MD (présidente sortante); Eugène Ng (représentant du conseil); Sergio Fanella MD; Justin Penner MD; Jeannette Comeau MD

Représentants : Dorothy L. Moore MD (Comité consultatif national de l’immunisation); Sean Bitnun MD (Groupe canadien de recherche pédiatrique et périnatale sur le VIH/sida chez les enfants); Isabelle Viel-Thériault MD (Comité consultatif de la médecine tropicale et de la médecine des voyages); Marina Salvadori MD (Agence de la santé publique du Canada); Sean O’Leary (comité des maladies infectieuses, American Academy of Pediatrics); Rupeena Purewal MD (Programme canadien de surveillance active de l’immunisation [IMPACT]); Cora Constantinescu (comité de pédiatrie, Association pour la microbiologie médicale et l’infectiologie Canada)

Auteure principale Dorothy L. Moore MD


Références

  1. Agence de la santé publique du Canada. Comité consultatif national de l’immunisation. Addendum à la déclaration sur le vaccin antigrippal saisonnier pour 2024-2025 : Transition des vaccins antigrippaux quadrivalents aux trivalents. Le 25 juillet 2024. https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/vaccins-immunisation/comite-consultatif-national-immunisation-declaration-addendum-vaccination-antigrippale-saison-2024-2025.html (consulté le 10 septembre 2024).
  2. Agence de la santé publique du Canada. Comité consultatif national de l’immunisation. Déclaration du comité consultatif (DCC). Déclaration sur la vaccination antigrippale pour la saison 2024–2025. Le 25 juillet 2024. https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/vaccins-immunisation/comite-consultatif-national-immunisation-declaration-vaccination-antigrippale-saison-2024-2025.html (consulté le 10 septembre 2024).
  3. Hurwitz ES, Haber M, Chang A et coll. Effectiveness of influenza vaccination of day care children in reducing influenza-related morbidity among household contacts. JAMA 2000;284(13):1677-82. doi : 10.1001/jama.284.13.1677
  4. Grohskopf LA, Ferdinands JM, Blanton LH, Broder KR, Loehr J. Prevention and control of seasonal influenza with vaccines: Recommendations of the Advisory Committee on Immunization Practices — United States, 2024–25 influenza season. MMWR Recomm Rep 2024;73(RR-5):1–25. https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/73/rr/pdfs/rr7305a1-H.pdf (consulté le 10 septembre 2024).
  5. Agence de la santé publique du Canada. Comité consultatif national de l’immunisation. Déclaration du comité consultatif (DCC). Déclaration sur la prévention de la maladie causée par le virus respiratoire syncytial chez les nourrissons. Le 17 mai 2024. https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/vaccins-immunisation/comite-consultatif-national-immunisation-declaration-prevention-maladie-virus-respiratoire-syncytial-nourrissons.html (consulté le 10 septembre 2024).
  6. Agence de la santé publique du Canada. Comité consultatif national de l’immunisation. Déclaration du comité consultatif (DCC). Utilisation recommandée du palivizumab pour réduire les complications de l’infection par le virus respiratoire syncytial chez les nourrissons. Le 1er juin 2022. https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/vaccins-immunisation/palivizumab-infection-virus-respiratoire-syncytial-nourrissons.html (consulté le 10 septembre 2024).

Avertissement : Les recommandations du présent document de principes ne constituent pas une démarche ou un mode de traitement exclusif. Des variations tenant compte de la situation du patient peuvent se révéler pertinentes. Les adresses Internet sont à jour au moment de la publication.

Mise à jour : le 23 septembre 2024